Remarques préliminaires

C'est devenu un truisme que d’affirmer que nous sommes dans une société de l’information. On peut considérer grossièrement que celle-ci a pour point de départ l’apparition de l’ordinateur dont la caractéristique fondamentale est qu’il traite l‘information. Fondamentale car, comme l’indique M.Serres, au même titre que l’écriture a permis de stocker l’information et ainsi d’externaliser ce processus cognitif qu’est la mémoire, cet ordinateur capable de traiter l’information permet d’externaliser nombre d’autres processus cognitifs. Il suffit pour s’en convaincre de voir l’importance qu’ont prise la calculette dans nos opérations de la vie quotidienne ou le GPS dans nos déplacements. Une autre caractéristique fondamentale de cette société de l’information est apparue un peu plus récemment avec Internet et réside dans les réseaux. L’individu d’aujourd’hui sollicite et est sollicité en permanence par les réseaux : téléphone mobile, courriel, réseau social... Plus important, l’individu et la société s’appuient de plus en plus sur ces réseaux pour résoudre les problèmes qu’ils rencontrent.
C’est dans cette société que vont vivre nos étudiants mais aussi leurs propres élèves. Se posent alors des problèmes simples d’adaptation à ce nouveau monde. Il faut que les futurs enseignants apprennent à leurs élèves à utiliser les outils numériques et à en connaître les limites et les dangers. Ils doivent aussi être capables d’utiliser ces outils pour améliorer leur propre pratique d’enseignement. C’est le rôle de l’ESPE de les y former. Mais se posent aussi des problèmes plus complexes qui ne sont, pour le moment, pas pris en compte dans l’éducation car on commence seulement à en prendre conscience. Par exemple : est-ce qu’un enfant cherche de la même manière qu’au siècle précédent les réponses aux questions qu’il se pose alors qu’il sait qu’il les trouvera sans peine sur le réseau ? Est-ce qu’il les mémorise de la même manière alors qu’il sait qu’il les retrouvera sans peine sur ce même réseau ? Pour l’instant cet « enfant réseau » n’a pas fait l’objet de beaucoup d’études , c’est pourtant cet enfant qu’il faudra former. Ce serait d’ailleurs peut-être aux ESPE de lancer des recherches sur ce thème.
Néanmoins, et dans l’immédiat, il est indispensable de former les étudiants de l’ESPE au numérique mais aussi par le numérique. Il convient pour cela de sortir des discours généralistes pour proposer des démarches concrètes et réalistes.

Cadre général

Trois grands principes contribuent à définir le rôle du numérique ou des TIC (Technologies de l’Information et de la Communication ) dans l’ESPE.
Les TIC pour l'Enseignement (TICE) y sont envisagées de deux façons :
- Apprendre les TIC
- Apprendre grâce aux TIC
Au niveau de l’ESPE, ceci se déclinera de deux manières :
- Former les étudiants aux TICE en envisageant les deux directions précédentes
- Former les étudiants grâce aux TIC.
Enfin, les TIC dans l’enseignement peuvent être envisagées sur un axe qui va du présentiel enrichi au tout à distance en passant par de la formation hybride. Les TICE à l’ESPE se placeront sur le segment qui va du présentiel enrichi à la formation hybride.

Le numérique à l'ESPE

L’ESPE a donc pour vocation de former ses usagers aux TICE et de les former grâce aux TIC.

A. Formation initiale

En début de master les étudiants qui n’ont pas le c2i niveau 1 auront une évaluation diagnostique concernant leur niveau en TIC sous forme d’un questionnaire auto-déclaratif. Les étudiants, de plus en plus rares, qui n’auront pas un niveau en TIC équivalent à celui du B2i niveau collège devront suivre une UEL TIC.

1. Former les étudiants aux TICE

La formation aux TICE se fera au travers des enseignements disciplinaires et d’une UE TICE. L’ESPE impulsera l’usage des TICE au sein de toutes les UE disciplinaires ou didactiques comme c’est déjà le cas au sein des disciplines scientifiques, technologiques et en EPS. C’est pourquoi il sera demandé que, dans chaque discipline, il soit a minima présenté quelques utilisations canoniques des TICE. Dans ce cadre, nous serons davantage dans la démarche « apprendre avec les TIC ». Cette demande de l’ESPE vers les disciplines sera accompagnée de propositions de formation de formateurs (voir le point « ressources humaines »). Par ailleurs, il sera aussi demandé à toutes les disciplines et pas uniquement aux disciplines littéraires de travailler de manière transversale à l’Education aux Médias et à l’Information.
Les compétences visées par l’UE TICE seront celles du Certificat Informatique et Internet niveau 2 Enseignement (C2i2e). Dans le cadre de cette UE, on amènera l'étudiant à être capable d’utiliser les TIC pour s’informer, se former et former ses élèves ou ses étudiants. La formation consistera à :
- expliquer ce qu'est le C2i2e, mais aussi les autres certificats (les différents B2i notamment),
- expliquer ce que sont les TICE et ce qu'elles visent (objectif disciplinaire, objectif TIC, plus-value pédagogique),
- montrer sur des outils généraux et quelques outils spécialisés comment mettre en place des séances utilisant les TIC au service des enseignements disciplinaires,
- présenter les TICE dans l'enseignement supérieur (mise en ligne de cours, baladodiffusion, etc.).
- approfondir les aspects sociétaux des TIC qui auront déjà été abordés dans le cadre des formations préparant au c2i niveau 1.
Si une partie de cette UE pourra se faire dans le cadre d’un tronc commun à l’ensemble du master, la plus grande part de l’UE sera déclinée en fonction des différents parcours. En effet, l’usage pédagogique du traitement numérique du son en langue, par exemple, ne trouvera aucune pertinence en histoire-géographie. Selon les parcours, cette UE représentera pour les étudiants entre 18h et 24h en présentiel et 15h à distance. Le positionnement dans le temps de ces formations au sein du master dépendra fortement du contenu des épreuves du concours qui auront lieu en fin de M1.

2. Former les étudiants grâce aux TIC

Dans le cadre de la formation tout au long de la vie, il est indispensable que les étudiants apprennent à utiliser les TIC pour s’informer et se former. Avant d’arriver dans le master les étudiants auront pu fréquenter le Learning center qui se met en place à l’Université de manière conjointe entre la BU et la cellule SUN (voir « ressources humaines »). Cela continuera au cours de leur formation à l’ESPE par la mise en pratique du travail collaboratif assisté par ordinateur (TCAO) et de la formation à distance (FAD) ou, plus précisément, hybride puisque tous les parcours auront une part de présentiel.
Dans le cadre de l’UE TICE mais aussi dans le cadre d’autres UE et notamment celles en liaison avec le stage les étudiants seront amenés à utiliser une plate-forme de TCAO. C’est notamment sur cette plate-forme qu’ils pourront mutualiser leurs travaux pour les stages et déposer les documents nécessaires à la validation de leur c2i2e et gérer éventuellement leur e-portfolio.
Dans le cadre d’une formation hybride, l’ESPE visera à généraliser aux autres disciplines ce qui se passe déjà dans quelques disciplines et notamment en EPS, où depuis plus de dix ans des ressources sont mises en ligne par Jean-Paul et Martine Gérard et leurs étudiants www.reunion.iufm.fr/dep/Eps/index.htm. Elles font l’objet de plusieurs centaines de consultations par semaine et ont été intégrées avec l’aide de la cellule SUN dans une UNT (Université Numérique Thématique) : unt-new.univ-reunion.fr/uv2s/eps-ecole/. Comme on peut le voir en consultant ces sites la démarche est double : former mais aussi mutualiser. Dans d’autres disciplines, il s’agit de mise en ligne de ressources pour la classe comme les séquences de mathématiques filmées avec des commentaires didactiques réalisées par Didier Bernot et Yves Martin qui permettent aux étudiants de s’approprier plus rapidement la problématique. www.reunion.iufm.fr/recherche/irem/spip.php (site susceptible de migrer). Dans d’autres disciplines encore, les formateurs mettent en ligne des ressources sur des Blogs privés, l’objectif sera de les convaincre de les placer sur le site Web de l’ESPE qui est en pleine rénovation.
La pratique de ces différents outils devra permettre que les futurs enseignants lorsqu’ils seront en poste s’approprient sans difficulté l’ENT (Environnement Numérique de Travail) de leur établissement déjà mis en place dans le secondaire à La Réunion et qui le sera bientôt dans le premier degré.

B. Formation continue personnels de l’Education Nationale

La demande pour une formation en TICE est forte de la part des personnels enseignants dépendant du rectorat. Cette demande va encore s’amplifier suite aux nouvelles directives ministérielles. Une partie de ces formations sera assurée par des formateurs du rectorat et l’ESPE pourra venir en appui, tandis que toutes celles relevant du c2i2e seront prises en charge par l’ESPE avec l’aide des formateurs du réseau de confiance (voir point « ressources humaines »).
Par ailleurs, l’ESPE va étudier la possibilité de mettre en place une validation des compétences c2i2e pour tout stage TICE. Cela commencera avec une circonscription du 1er degré dès 2013/2014. Ceci devrait inciter les personnes à suivre ces formations.

C. Autres publics

Pour les publics ne relevant pas de l’éducation nationale, les formations TICE soit seront prises en charge par l’ESPE soit feront l’objet d’un partenariat avec le Service Universitaire de la Formation Permanente (SUFP), notamment quand il s’agira de formations devant déboucher sur la certification c2i2e.

D. Formation ISN

Il n’est pas prévu pour le moment que la formation des professeurs à l’Informatique et Sciences du Numérique (ISN) entre dans le périmètre de l’ESPE. Ce n’est pas pour autant que l’ESPE s’en désintéresse car elle y est associée par le biais du chargé de mission TICE. Cette formation a été mise en place conjointement par le Département d’Informatique et de Mathématiques (pour l’université) et un IA-IPR pour le rectorat. A l’issue de la première année, il est apparu que si la majorité des stagiaires étaient très satisfaits de la formation qu’ils avaient reçue, le programme préconisé (quasiment celui de la licence d’informatique) était clairement trop ambitieux. C’est pourquoi les formateurs se sont surtout centrés sur la notion de projet.

Le Certificat Informatique et Internet niveau 2 Enseignement (c2i2e)

La formation aux TICE décrite dans le point précédent recouvre les compétences qu’exige le c2i2e ce qui est conforme à l'article 9 de l'arrêté du 27 août 2013 fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters « métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation ». Cette formation est aussi conforme au cahier des charges établi par l’Université de la Réunion, cahier qui lui a permis d’obtenir l’habilitation du ministère à délivrer ce certificat.

Pour la validation, nous appliquerons de la même manière ce qui est décrit dans ce cahier notamment en ce qui concerne l’évaluation des compétences. Sur ce point, le cahier reprend le document d’accompagnement n°2 du C2i2e : « L’évaluation du C2i2e ne peut être correctement réalisée à travers une seule épreuve, a fortiori « sur table », car aucune épreuve, quelle qu’elle soit, ne pourrait convoquer l’ensemble des dimensions d’un métier. Il s’en suit que l’évaluation de l’ensemble des compétences du C2i2e ne peut être convenablement réalisée sur un temps court et à un instant donné. Elle requiert une variété de situations d’évaluation. » Il s’agira d’évaluer le candidat le plus souvent en situation d’enseignement et une grande partie des validations se fera durant la période de stage. Dans le cadre d’une formation en alternance, celle-ci sera plus longue et l’ESPE s’appuiera sur les équipes de terrain ou les tuteurs ESPE lors des visites comme cela se faisait avant la masterisation (voir point ressources humaines) pour valider au moins les compétences B2 et B3 du c2i2e.

Une partie de la validation des compétences du c2i2e entrera dans la note de l’UE mais en aucun cas il n’y aura superposition de la validation de l’UE et celle du C2i2e.

 

Les ressources humaines

 

A. Pour la formation

Les TICE au sein de l’ESPE s’appuieront sur un réseau de formateurs déjà existant (coordinateurs c2i2e) qui se répartissent parmi les différentes composantes de l’université et sur la cellule SUN (Service des Usages du Numérique) de l’université. Ce noyau est élargi aux formateurs de terrain par le biais du réseau de confiance.
Les coordinateurs c2i2e. Actuellement les 15 coordinateurs C2i2e de l’Université sont impliqués dans les formations et les certifications C2i2e. Ce sont pour la plupart des enseignants ou des enseignants chercheurs qui appartiennent ou ont appartenu à l’IUFM et sont coordinateurs C2i2e depuis 2006.  Au sein de chaque master spécialité enseignement de l’Université, le coordinateur C2i2e doit expliquer aux étudiants ce qu’est le C2i2e, former les étudiants à l’usage du numérique dans l'éducation (UE TICE), coordonner les validations. Ils sont eux-mêmes certifiés C2i2e.
La cellule SUN.
Le SUN, Service des Usages du Numérique de l’université de La Réunion fournit des services et outils numériques à la communauté universitaire contribuant à l’amélioration de la productivité et la réussite, la communication et les liens sociaux, la pédagogie et la valorisation de la recherche. En pratique, il accompagne l’évolution de la pédagogie universitaire et les changements induits par ces nouvelles pratiques en animant la formation des personnels de l’université et des étudiants aux usages du numérique. Il développe par ailleurs une politique de production et de diffusion de ressources numériques et explore les nouveaux champs de la diffusion des connaissances, pilote le développement et le déploiement des infrastructures, outils et technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement. Enfin, le SUN s’implique dans les parcours de formation ayant une composante audiovisuelle, multimédia et numérique en général.Pour concrétiser cela, il convient de signaler qu’actuellement le SUN travaille conjointement avec la BU à la mise en place d’un « Learning center » qui prendra la relève de l’EIFC (Espace Intégré de Formation et de Certification), où les étudiants peuvent s’autoformer avec l’aide de tuteurs dans un premier temps essentiellement aux TIC et aux langues.
Le réseau de confiance. Depuis quelques temps, la demande pour une formation en TICE s’accroît notamment pour des formations c2i2e. Comme le nombre de formateurs au sein de l’ESPE habilités à valider ces compétences est limité, il a été nécessaire de mettre en place un « réseau de confiance ». Ce réseau est composé d’enseignants du premier et second degré dépendant du Rectorat qui doivent eux-mêmes être certifiés c2i2e. Ils peuvent, sous la responsabilité de l’Université, et désormais de l’ESPE, former leurs collègues et leur valider des compétences du c2i2e. Les membres de ce réseau ont fait l’objet d’une formation et d’une certification dès 2006 pour le premier degré et depuis 2011 pour le second degré. Actuellement, dans le 1er degré, la plupart des équipes de circonscription (Conseillers et ATICE) ont déjà été certifiées c2i2e au cours des plans de formation précédents. Aussi, si une équipe de circonscription veut faire partie du réseau de confiance, il faut qu’au moins un conseiller pédagogique et que l’ATICE soit certifiés c2i2e. A ce jour, 3 circonscriptions ont demandé à faire partie du réseau et ont assuré conjointement avec l’Université la formation et la validation au c2i2e d’une partie de leurs personnels.
Dans le 2nd degré, en 2011-2012, 37 personnes susceptibles de faire partie du réseau se sont inscrites, 26 ont eu le c2i2e et 4 ont participé ou participent à des formations et validations c2i2e soit d’étudiants de l’Université soit de stagiaires en formation continue.
Dans les années qui viennent, avec l’augmentation du nombre de formations et du nombre de stagiaires, l’ESPE devra de plus en plus faire appel à ce réseau.

B. Pour la validation des compétences du c2i2e

Pour la validation des compétences c2i2e, la mise en place d’une formation en alternance permettra à nouveau une validation d’une partie de ces compétences au niveau du terrain par le biais des équipes de circonscription pour le 1er degré et par les conseillers pédagogiques pour le 2nd degré. Cette pratique qui avait été mise en place avant la masterisation et avait été abandonnée lors de celle-ci suite à la réduction du temps de stage, pourra être aisément réactivée.

C. Formation de formateurs aux TICE

Dans quelques disciplines, certains formateurs de l’ESPE ne sont pas encore au fait de ce que peuvent apporter les TIC dans leur enseignement, c’est pourquoi l’ESPE travaillera avec la cellule SUN de l’Université mais aussi avec des formateurs du réseau de confiance à leur proposer un ensemble de formations.


Les ressources matérielles

Pour assurer ces différentes formations, l’ESPE devra rassembler un ensemble de ressources matérielles. Pour la plupart, ces ressources sont mutualisées avec les autres composantes.

Pour le présentiel. L'ESPE bénéficie d’une salle libre service, de 2 salles de cours totalement opérationnelles permettant d’accueillir des demi-groupes classes (17 personnes) et d’une salle de cours pouvant servir en « dépannage ». Avec la montée en charge des formations, le nombre de salles sera donc insuffisant en période de pointe. Il conviendra donc de penser le planning des formations en tenant compte de ce problème.
Pour la mise à distance. Pour tout ce qui est formation hybride et TCAO nous nous appuierons sur quatre outils : le site Web de l’ESPE, la plate-forme Moodle de l’Université, la plate-forme de TCAO de l’Université, l’ENT du rectorat.
Le site Web de l’ESPE est en pleine refonte avec l’aide de la cellule SUN. Il est avant tout ciblé pour permettre de répondre à la plupart des questions relatives à l’ESPE, la réponse devant être accessible en trois clics maximum. Une partie sera consacrée à des ressources utiles pour la formation des étudiants. Nous saisirons aussi les opportunités qui s’offriront de participer aux UNT tels que cela s’est fait en EPS.
La plate forme Moodle est davantage utilisée pour la FAD. Le module Fruitet  permet de faciliter la validation des compétences en TICE de nos étudiants. Par ailleurs, la cellule SUN met à l’étude la possibilité d’utiliser cette plate-forme dans un axe davantage orienté TCAO afin de ne pas multiplier les outils.
L’ESPE utilise aussi le Bureau Virtuel (BV) qui est l’outil de l’Université pour tout ce qui relève du TCAO. Il est cependant possible que l’Université migre vers un autre outil. Lors de la migration vers un autre outil, l’ESPE pèsera pour aller vers des outils facilitant cette coopération.
Les établissements du second degré de l’académie utilisent Envole comme ENT. C’est pourquoi l’ESPE mène, des négociations avec le rectorat pour bénéficier d’un Envole dédié à la formation auquel pourraient accéder les formateurs de l’ESPE afin que les étudiants qui se destinent aux métiers d’enseignant soient immédiatement opérationnels une fois reçus au concours.
Pour l’administration des certificats.Un des problèmes posés actuellement, et pas uniquement à La Réunion, est la gestion des certificats c2i2e et l’inscription des personnels stagiaires dépendant du rectorat dans les bases Apogée de l’Université. Ce problème est d’autant plus important que les moyens qui sont attribués à l’Université dépendent des remontées quantitatives des données extraites d’Apogée. C’est pourquoi l’ESPE mettra à l’étude la possibilité d’une inscription légère des stagiaires de la FC du Rectorat dans Apogée et la possibilité de transmission de fichiers informatiques du Rectorat vers l’Université pour faciliter le processus.